?Are those words banished from your heart

Amants des friches industrielles, voici les vents chargé de lune.  ?Are those words banished from your heart. Et les saumons frais des pensées remontent aux sources évanouies. Jaillis le vent, Froissez les paupières. Voici le jardin nu des pensées neuves où construire ce qui frappe aux songes établis. Voici l’arc-en-ciel-hamac où poser les fatigues alors que montent autour de nous les murs des chateaux des enfants. Escabeau des saumons roses, escalier des filles en robe blanche. Voilà les draps d’étoiles seules où glisser les idées fatiguées, pour qu’elles aillent voir avec leurs soeurs s’il y a des restes à manger.  ?Are those words banished from your heart. Alors aimez le terrain de nos rêves, amants des phalanges éphémères.

J.H.